Clotilde Coureau fétichiste

L’actrice révèle son jeu d’adoration des pieds

Clotilde Coureau est une actrice française qui mesure 1m68. Clotilde Coureau a joué dans des nombreux films d’auteur tels que Élisa de Jean Becker en 1995 et L’appât de Bertrand Tavernier en 1995 et La parenthèse enchantée de Michel Spinosa en 2000 et aussi le film injustement méconnu En face (en photo) de Mathias Ledoux en 2000. Totalement investie dans sa partition d’actrice, sans tabous, Clotilde Coureau a joué nue avec son pubis visible dans plusieurs excellents films français tels que Le poulpe de Guillaume Nicloux en 1998 ou Promenons-nous dans les bois de Lionel Delplanque en 2000 ou encore Un monde presque paisible de Michel Deville en 2000 avec notamment un très sensuel effleurement des poils de sa toison pubienne. Mais ce n’est pas la nudité de Clotilde Coureau qui affole le cercle très fermé des fétichistes françaises et français mais bien une étonnante révélation de l’actrice !

Clotilde Coureau a participé en 2000 à la célèbre émission de Thierry Ardisson Tout le monde en parle sur France 2 en faisant une révélation sidérante ! Sans gêne ni fausse pudeur, Clotilde Coureau a déclaré ce soir là « J’allais dormir chez mon copain, Alexandre, qui me faisait embrasser sa chaussette sale 100 fois pour lui prouver que je l’aimais ». Cette révélation de Clotilde Coureau a ensuite été reprise par Thierry Ardisson sous l’appellation de la Question Clotilde Coureau pour demander à ses invités féminines si elles étaient aussi capables d’embrasser les chaussettes sales d’un homme par amour ?

Paradoxalement, l’aveu de Clotilde Coureau relativise la pratique des femmes souvent dominatrices qui font embrasser leurs chaussettes sales par des hommes souvent soumis fétichistes des pieds féminins. Le fétichisme féminin ou masculin des chaussettes et des pieds reste après tout un simple jeu un peu coquin mais un simple jeu teinté d’une preuve d’adoration ! Sans s’imaginer la portée de son charmant aveu, Clotilde Coureau a décomplexé beaucoup de femmes et d’hommes fétichistes des chaussettes sales. Et vous, quelle serait vraiment votre réponse à la Question Clotilde Coureau posée par Thierry Ardisson ?